En l'an 102 du premier millénaire Germanique...
Da schiesst der Gauleiter los !
Je reconnus les aboiements des chiens à sanglier, ces brutes sauvages qui s'étaient jetées contre les barreaux du chenil, furieuses, quand nous les avions regardées.
Une silhouette était apparue, courant à toute vitesse dans l'herbe, une silhouette humaine, mais revêtue d'un accoutrement fantastique. Elle s'approchait; courant à perdre haleine, pour sauver sa vie, et les chiens que l'on ne voyait pas encore la pressaient on ne pouvait en douter : ils allaient attaquer, et attaquer à mort...