Miss Alexia Tarabotti doit composer avec quelques contraintes sociales.
Primo, elle n’a pas d’âme. Deuxio, elle est toujours célibataire. Tertio, elle vient de se faire grossièrement attaquer par un vampire qui, ne lui avait pas été présenté !
Que faire ? Rien de bien, apparemment, car Alexia tue accidentellement le vampire. Lord Maccon – beau et compliqué, écossais et loup-garou – est envoyé par la reine Victoria pour enquêter sur l’affaire.
Des vampires indésirables s’en mêlent, d’autres disparaissent, et tout le monde pense qu’Alexia est responsable. Mais que se trame -t-il réellement dans la bonne société londonienne ?
Gail Carriger écrit pour oublier qu’elle a été vaguement élevée par une expatriée de l’Empire Britannique et un incurable grincheux. Elle s’est enfuie d’une petite ville pour rejoindre l’Europe et y a acquis par inadvertance une éducation et quelques diplômes. Elle a ensuite arpenté les principales villes d’Europe, se nourrissant exclusivement de biscuits fournis par son sac à main. Elle vit à présent dans les colonies avec un harem d’amoureux arméniens et du thé directement importé de Londres. Elle se dit influencée par Jane Austen et P.G. Wodehouse, des années d’études d’histoire (elle a été archéologue) et les costumes de scène de la BBC.